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Initiative : Matila Media Group encourage des jeunes de Bekoko à se lancer dans les métiers industrialo-portuaires

Au travers du concept “1 Geste 1 Sourire”, qui vise à apporter un soutien financier et nutritionnel aux plus jeunes, la promotrice et Directrice de publication du Journal Matila, Grâce Engome veut orienter la jeunesse à des métiers porteurs. L’annonce a été faite, au cours d’une conférence de presse qui a lieu le 13 décembre 2024 à la case communautaire de Bekoko

La case communautaire de Bekoko a servi de cadre ce vendredi 13 décembre 2024 aux activités marquant la deuxième édition du projet “1 Geste 1 Sourire”. Une initiative portée par Matila Media Group Sarl, sous le haut patronage du Gouverneur de la Région du Littoral, Samuel Dieudonné Ivaha Diboua.

Entre marche sportive, causeries éducatives et sensibilisation des jeunes en classes d’examen et ayant un handicap, la promotrice et Directrice de publication du journal Matila, Grâce Engome veut apporter un geste à ces jeunes qui ont de la volonté.

Le projet 1 Geste 1 Sourire” est axé essentiellement sur la promotion et le développement des jeunes. Nous avons eu des causeries de sensibilisation, d’orientation et de cultures aux métiers industrialo-portuaires. Nous mettons en avant l’industrialisation de notre pays. Nous essayons aussi d’identifier les jeunes qui souffrent d’un handicap. Nous venons apporter notre geste à ces jeunes qui ont de la volonté “, a-t-elle affirmé.

Il faut relever que le présent projet s’adresse avant tout aux jeunes des couches défavorisées. ” 1 Geste 1 Sourire ” pense aux jeunes défavorisés. ” La promotrice pense aux jeunes défavorisés. Elle leur propose des métiers industrialo-portuaires qui offrent plusieurs débouchés dans l’avenir. Elle a pensé à apporter autre chose que la nourriture et la joie, mais, leur donner des clés propres pour leur avenir, les émanciper et les rendre autonomes “, a expliqué Josué Hugo Tobo, membre du projet.

Au regard de ce qui précède, les prochaines éditions se veulent être rotatives. L’objectif étant d’aller vers des zones rurales reculées de notre pays.

Catherine Aimée Biloa

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